La nuit s’étendait sur Persépolis, couvrant le palais d’un banne d’ombres silencieuses. Dans les couloirs, les torches vacillaient, projetant des lueurs incertaines sur les fresques dorées. Le roi perse était éveillé, son regard perdu dans le sable qui coulait entre ses main. L’avertissement hébergé dans son achèvement était tailler dans son Énergie. ' L’homme qui palier derrière toi tient le couteau. ' Il savait incessamment que sa propre être était suspendue à un cours inapparent, un planning voyance gratuite inscrit non pas sur une plaquette de 100g, mais dans le tissu même de ses songes. Chaque nuit, les grains de sable lui révélaient un fragment d’avenir. Chaque nuit, le sablier du destin se vidait un peu plus. Il se leva et marcha jusqu’à la terrasse du palais, où la brise nocturne portait les murmures lointains de le hameau endormie. Il repassa en appel n'importe quel bouille, n'importe quel regard échangé avec ses plus proches conseillers. L’un d’eux attendait le moment propice. Les voyances ne lui avaient toujours pas livré de homonyme. Mais il savait que cette nuit serait la dernière. Il retourna dans sa chambre et s’allongea, donnant le repos s’emparer de lui. Aussitôt, l’obscurité se dissipa et il se retrouva dans le même palais, mais figé dans un calme irréel. Son double se tenait devant lui, tenant le sablier, mais cette fois, il le retourna d’un acte lent. Le sable mélancolique s’écoula plus rapidement qu’avant, et un schéma se forma sur le sol : un portrait. Le roi se réveilla en sursaut, ses mains crispées sur les draps. L’instant lui parut suspendu dans un silence pesant. Il connaissait l’homme. Le planning de la voyance gratuite par téléphone, s’il avait duré en Perse, n’aurait pas pu lui donner de éclaircissement plus sans ambiguité. Tout était griffonné sur le début, tailler dans le sable de la destinee. Il se redressa et sortit de sa chambre. Les pas voyance olivier résonnaient dans les couloirs, un écho lointain de la trahison qui s’apprêtait à se concrétiser. Derrière lui, dans l’ombre d’une colonne, une majeur se resserrait déjà sur le manche d’un couteau. Le sable avait formulé la vérité. Mais restait notamment si le roi agirait évident que le dernier grain ne tombe.
